
À Bruxelles, l’islamisme et l’antisémitisme aux portes du gouvernement régional.
Dans une Europe où l’émiettement des partis rend toute formation plus compliquée, la Région Bruxelles-Capitale, siège de la Commission et du Conseil européens, est un cas d’école de la meilleure manière de rendre une ville-région ingouvernable. Ou de faciliter l’entrisme de factions extrémistes, par exemple islamiste. Ainsi, le parti de Fouad Ahidar, dont les propos antilaïques et antisémites ont fait la triste renommée, se trouve, malgré un maigre 2,8 % des votes valables, en position de négocier un gouvernement bruxellois.







