Pathétique, le discours royal ne nous met même pas à la fête.
Comme chaque année, après Albertke II, c’est aujourd’hui Flupke premier qui nous fait son royal discours(ke), plutôt unanimement applaudi par la presse ou alors les critiques sont aussi fades que le texte lui-même. Faudrait pas gâcher la fête nationale des Belges qui se prétendent si peu patriotes, hein ! Allez, un exemple. Pour Le Soir, « Le Roi ose aborder des thèmes délicats (immigration, crise de l’euro), mais dilue prudemment ses conclusions… » Ja wadde ! Le mot oser est bien le dernier


