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Zakia B, d’icône de la paix à génocidaire en 2 jours. Mais elle n’est pas le vrai sujet.
C’est l’histoire d’une icône express, instituée héroïne de la paix en quelques heures sur ces réseaux sociaux qui fabriquent des Mahatma Gandhi à bon marché. C’est aussi l’histoire d’une jeune fille qui
Contexte : Zakia B, chronologie d’une double hystérie.
Tout a pourtant commencé de façon sympatoche. Le weekend dernier, lors d’une manifestation du Vlaams Belang (extrême droite néerlandophone belge) en marge d’une expo islamique, la jeune Zakia B s’est
Dix bonnes raisons de visiter la Bruxelles déliquescente maintenant !
Les journaux alignent les critiques sur Bruxelles. Elles sont généralement justes. Notre administration est une usine à gaz. Nos politiques d’intégration ont échoué à un point dantesque. Notre police et
Ten reasons why you must visit (messy) Brussels now.
These days, all you read in the newspapers about Brussels or Belgium is bad. And mostly true. Indeed, our administration is a mess. Our integration policies have failed to a
Merci Patron. Ou l’envers d’une société vouée aux empereurs du luxe.
D’accord, François Ruffin, c’est de la gauche. Certains diront de l’extrême gauche. Beaucoup de « libéraux » (plutôt néoconservateurs en réalité) utiliseront ce qualificatif pour vous décourager d’aller voir Merci Patron !, le
Bruxelles martyrisée, Bruxelles ignorée… Bruxelles révolte-toi.
Bruxelles se fête ce weekend. La fête la plus amère jamais organisée, un mois et demi après deux attentats qui ont coûté la vie à 32 personnes et en ont
Déni et Quatremer : ci-gît la Belgique, et une partie de sa presse.
Terrorisme, police fédérale sans moyens, sûreté cloisonnée, prisons invivables ouvertes à la radicalisation, files infernales à l’aéroport qui vient de rouvrir, guerres politiques… la Belgique est à bout de souffle. Jean
Charles Michel sur CNN, ou l’interview d’un petit garçon.
C’est grâce à un papier de Béatrice Delvaux que j’ai découvert l’interview hallucinante de Charles Michel par la star de CNN Christiane Amanpour. L’éditorialiste du Soir avait pleurniché notre mal