
Les employés de la STIB rejettent les signes convictionnels et le prosélytisme.
Il y a quelques mois, la STIB était condamnée par un tribunal bruxellois pour ne pas avoir engagé une femme qui refusait de retirer son voile au travail. Le jugement avait fait l’objet de critiques acerbes. Mais sous l’impulsion d’Ecolo, la Région bruxelloise a empêché sa société de transports publics de faire appel de cette décision, à la grande joie des islamistes qui n’en espéraient pas tant. Le retour de manivelle vient à présent du personnel de l’entreprise, très majoritairement


