Droit de réponse de Florence Hainaut à l’article de Marcel [Patronyme] : « Le Pouvoir du victimisme. Épisode 3 : harceler n’est pas jouer. »
Note : ce droit de réponse est postérieur à la décision du tribunal correctionnel du 1er décembre 2020. Suite à mon refus de cinq premiers droits de réponse, la 61e chambre de première instance correctionnelle de Bruxelles m’a acquitté de toute infraction à la loi sur le droit de réponse, a débouté Madame Florence Hainaut de ses réclamations civiles et l’a condamnée à une indemnité de procédure.
Malgré les modifications effectuées par Florence hainaut à son droit de réponse suite à ce jugement (droit qu’elle m’impose à nouveau de publier dans les 48h « A défaut de quoi, elle introduira les procédures utiles, le cas échéant devant le même juge qui a déjà eu à analyser le cas »), son droit de réponse permet de reconnaître une personne mise en cause et accusée, malgré un non-lieu, de harcèlement. Elle le cite par ses initiales qui, ayant déjà fuité sur Twitter, permettent de le reconnaître. Pour éviter un droit de réponse de l’intéressé ou une procédure en diffamation, j’ai remplacé ses initiales par « Pascal Lebrun » (nom fictif).
Ce droit de réponse demandé est de plus injurieux voire calomnieux (« malveillant », « raconte n’importe quoi », « volonté féroce de nous discréditer », « esprit malade », « interroger mes ex sur mes habitudes sexuelles », « odeur de souffre », « dérive mentale », etc.), soit les raisons pour lesquelles le tribunal a reconnu que je n’étais pas tenu d’en publier la première version. Ce prétendu droit de réponse ne vise pas à corriger des erreurs factuelles mais à « régler des comptes avec l’auteur ».
Toutefois, dans un but d’apaisement et pour mettre un terme définitif, je l’espère, à ces intimidations épuisantes, je publie ce nouveau droit de réponse amendé et sollicité par l’auteure, ainsi que mes commentaires, à la suite.
Je ne peux toutefois pas respecter les conditions de publications que Madame Hainaut entend m’imposer (publication au-dessus de mon article original) dès lors qu’elles reviennent à invisibiliser mon article et ne rendent pas son droit de réponse aussi visible pour autant, l’article étant ancien et presque plus lu. J’ai donc inséré un avertissement en tête de l’article incriminé, avec un lien vers cette page-ci.
De plus, alors qu’il est de notoriété publique que je protège mon patronyme, Florence Hainaut le mentionne à 26 reprises dans ce droit de réponse, ainsi que dans le titre. Afin de préserver ma vie privée et celle de mes proches, ce patronyme est remplacé ci-dessous par [Patronyme].
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DROIT DE RÉPONSE
Dans le troisième épisode d’une saga dont les 4e et 5e volets sont, dit-il, en préparation, Marcel [Patronyme] tente de vous faire croire que Myriam Leroy a créé un compte Twitter « parodique » à mon endroit. Mais que (par malice ? ignorance ?) j’ai porté plainte pour harcèlement contre un certain [Pascal Lebrun], lequel aurait été lavé de tout soupçon.
Myriam et moi tricoterions des postures victimaires, alors que nous ne sommes victimes de rien, et cela nous permettrait, roulement de tambour, de décrocher de l’argent public pour réaliser un documentaire consacré à un sujet dont nous ne connaissons rien car nous ne l’avons pas enduré : le harcèlement.
Wow. Si ce n’était si malveillant comme théorie fumeuse, c’en serait désopilant.
Une fois de plus, Marcel [Patronyme] raconte n’importe quoi. Sa méconnaissance du système policier et judiciaire couplée au manque de fiabilité de ses sources et sa volonté féroce de nous discréditer font de son billet une litanie indigeste et bancale, bien loin de ses grandes envolées de l’époque (qui n’a pas encore en tête son poignant article de 22000 signes consacré au retard de ses bagages sur son lieu de vacances ? Epique.)
Myriam Leroy, dans son droit de réponse à ce billet explique de manière particulièrement complète et didactique pourquoi il est impossible qu’elle ait créé et animé ce compte Twitter insultant.
Je vais tout de même me permettre de relever quelques points de la logorrhée de Marcel [Patronyme].
Florence vs Florance : le compte si rigolo que la justice l’a jugé harcelant
Marcel [Patronyme] affirme que j’ai porté plainte contre [Pascal Lebrun] Une fois encore, c’est faux. J’ai porté plainte contre X et, auditionnée une première fois par la police, j’ai fait part aux inspecteurs de mes soupçons. Car figurez-vous que lorsque la police auditionne une personne qui dépose plainte contre X, elle lui demande si elle a des soupçons et vers qui ils se dirigent. Et oui, absolument, j’avais des soupçons.
Je vous remets rapidement l’histoire dans son contexte.
Février 2017, « quelqu’un » crée un compte « parodique » sur moi. Mon pseudo Twitter était @FloHeyNo, le compte se nomme @FloHeyNow.
Dès le jour de sa création, ce compte m’interpelle. Je le bloque. Il interagit avec des personnalités politiques, insulte un ancien collègue, s’adresse à mon ancienne hiérarchie. Je contacte une à une ces personnes, parmi lesquelles des confrères de la RTBF à qui je n’ai pas spécialement envie de parler. Je les préviens. Oups, c’est entendu, ils trouvaient bizarre en effet que je leur parle de cette drôle de manière. Cela a duré des mois.
Marcel [Patronyme] n’aurait pas vu passer ce compte. On l’a connu plus sur la balle sur Twitter. Un moment d’égarement sans doute.
Je soupçonne tout de suite [Pascal Lebrun] d’être derrière ce compte. Oui, ce pauvre père de famille modèle, renvoyé devant le tribunal correctionnel pour harcèlement et qui se répandait sur son ancien blog en considérations sexistes et antisémites. On a connu Marcel [Patronyme] plus soigneux dans le choix des personnes dont il veut laver l’honneur.
Pourquoi je soupçonne [Pascal Lebrun] ? Parce que cela fait des années que ce type m’a dans le collimateur. J’ai essuyé, au fil du temps, et comme des dizaines et des dizaines d’autres personnes, un paquet d’insultes de sa part, sous divers pseudonymes et sous son propre nom.
Grâce à un ami informaticien je fais croiser l’adresse IP du compte « parodique » et celle du compte Facebook de [Pascal Lebrun] Ce sont les mêmes. Monsieur [Patronyme] enfile les paragraphes comme des perles en se demandant comment j’ai obtenu cette information. Il suffisait de me le demander, je n’en ai jamais fait mystère, certainement pas devant les enquêteurs. Qui l’ont expliqué à [Pascal Lebrun] lorsque celui-ci a été auditionné en qualité de suspect.
Le fait que monsieur [Patronyme] dispose de la date de création de ce compte Twitter qu’il dit ne pas avoir vu passer prouve qu’il a eu accès – a minima – au PV d’audition de [Pascal Lebrun] par les inspecteurs de la computer crime unit.
Je me demande vraiment comment ce document est arrivé dans ses mains (je plaisante).
En remontant les adresses IP que je leur ai fournies, les inspecteurs arriveront chez… Myriam Leroy. Prendre une victime pour taper sur l’autre, ça serait le comble du sadisme, non ?
Mais [Pascal Lebrun] aurait été incapable, d’après monsieur [Patronyme] de « spoofer » une adresse IP, soit de s’y connecter. On trouve un mode d’emploi précis de la manoeuvre en deux clics sur Internet et de surcroît, le suspect est informaticien.
Quelle est la source de [Patronyme] qui lui permet d’affirmer avec certitude que [Pascal Lebrun] est bien incapable d’une telle manoeuvre ? Pas le suspect lui-même, quand même ? Ce serait une drôle de manière d’enquêter.
« Etes-vous coupable de meurtre ? »
« Non monsieur le blogueur.»
« Ah ok, j’affirme dès lors qu’il est impossible que ce monsieur ait commis un meurtre. »
Ca va être ric-rac pour le prix Albert Londres. Mais Marcel [Patronyme] est très fier de son « enquête ».
Il est même persuadé que ses billets diffamants et bancals inquiètent tellement la corporation (des journalistes, donc) qu’elle essaie de « l’envoyer au gnouf », soit en prison. C’est cela, oui.
Un peu plus loin, Marcel [Patronyme] tartine des paragraphes et des paragraphes pour expliquer à quel point ce fameux compte «parodique» (qu’il n’a pas vu passer mais dont il cite au mot près des tweets entiers) n’avait rien de harcelant.
Mensonges, encore et toujours.
Le ministère public a conclu que ce compte était constitutif de harcèlement à mon encontre. La source de [Patronyme] aurait-elle omis de lui fournir cette pièce ?
Au terme des devoirs d’enquêtes, le Procureur du Roi n’a pu que constater que l’auteur de l’infraction n’avait pu être identifié. Il a pris des réquisitions de non-lieu pour « auteur inconnu » (et non pour « absence d’infraction). La Chambre du Conseil, qui statue à la clôture de l’instruction sur les suites à donner au dossier, n’a pu que confirmer le réquisitoire et a rendu une ordonnance de non-lieu pour harcèlement car « auteur inconnu. ».
Que monsieur [Patronyme] m’explique (source judiciaire à l’appui, puisque visiblement il a un super bon informateur) : puisque les faits ont été reconnus délictueux par la justice, et puisque la police était remontée jusqu’à elle, pourquoi donc Myriam Leroy n’a-t’elle pas été aussitôt inculpée ? C’est bizarre, vous ne trouvez pas ? Peut-être parce qu’il était évident qu’elle aussi était une victime dans cette affaire. Cela n’a jamais fait l’ombre d’un doute que dans l’esprit malade de [Patronyme] et ses petits copains.
La longue démonstration de Marcel [Patronyme] tendant à prouver que ce compte était plus rigolo qu’autre chose est donc nulle et non avenue. S’il s’était renseigné convenablement, donc ailleurs qu’auprès du suspect, il se serait épargné sa petite enquête de voisinage sur base des souvenirs d’utilisateurs – sans doute très neutres – de Twitter.
Raté pour le Pulitzer, cette fois-ci.
Et maintenant, Marcel [Patronyme] va-t-il consentir à me lâcher ?
Cela fait plus de 3 ans que ce monsieur force la porte pour s’inviter dans ma vie. Je lui ai fait part de mon malaise, il l’a ignoré. Je l’ai bloqué. Depuis, il s’acharne contre moi.
À de nombreuses reprises, ces dernières années, j’ai exprimé ma lassitude et mon désarroi face à ses assauts. Il s’en est moqué. Je l’ai bloqué partout. Et pourtant il est partout, scrute, capture, me surveille, m’expose à sa poignée de fans. Il a toujours réagi à mon activité Twitter avec une telle vélocité que je ne peux qu’en déduire qu’il me surveillait de manière quotidienne. J’ai quitté Twitter, j’ai quitté Facebook. Il scrute mon compte Instagram, pourtant privé. Entre deux tweets harcelants où [Patronyme] affirme qu’il n’est pas harcelant, il fait aussi une demande d’abonnement au compte Instagram privé de Myriam Leroy, qui n’en croit pas ses yeux.
Ce monsieur refuse de me laisser en paix. Il s’est arrogé le droit de critiquer publiquement le moindre de mes faits et gestes, de me jeter en pâture à un public haineux.
Jusqu’à cette farce morbide qui se joue en ce moment sous vos yeux. Trois épisodes délirants censés prouver que je n’ai jamais été harcelée et que de cette posture je fais un business. Trois épisodes truffés de mensonges et d’erreurs. Et il en annonce deux autres.
Calomniez, calomniez, peu importe, au fond, la vérité, il en restera toujours quelque chose.
Et c’est bien là-dessus que semble compter [Patronyme], en écrivant ses billets confus : personne n’y comprend rien mais ils laissent quand même une odeur de soufre dans leur sillage.
Monsieur [Patronyme] est obsédé par moi et c’est insupportable.
Je n’en peux plus.
Vous savez comment mes parents ont eu connaissance des billets de monsieur [Patronyme] ? Comme ils n’arrivaient plus à me contacter, ils se sont inquiétés. Leur premier réflexe a été d’aller voir ce que monsieur [Patronyme], sous le pseudonyme « Marcel Sel », racontait sur Twitter. Et ils ont su que j’étais la cible d’une énième tempête.
Est-ce que je vais un jour retrouver Marcel [Patronyme] en train de fouiller mes poubelles ? Ou d’interroger mes ex sur mes préférences sexuelles ? Mes voisins sur mes habitudes ? On a vu qu’il s’était renseigné sur le nombre d’appartements de l’immeuble de Myriam Leroy. Où va-t-il s’arrêter, exactement ?
Je veux qu’il me laisse en paix maintenant. Je le lui demande depuis plus de 3 ans.
Je voudrais enfin m’adresser aux quelques lecteurs des délires de Marcel [Patronyme]. Ce petit cercle d’enragés, parmi lesquels des confrères journalistes, qui participe à nourrir son obsession à mon égard en lui assurant qu’elle est non seulement légitime mais aussi digne d’intérêt.
Je vous tiens tous pour responsables de l’évident naufrage de monsieur [Patronyme].
Nul besoin d’être psychiatre pour comprendre que l’obsession de ce monsieur à mon égard tient plus de la dérive mentale que de l’intérêt « journalistique ».
Vous qui l’encouragez alors qu’il est visiblement en train de perdre pied, vous faites preuve d’un manque d’humanité particulièrement cruel. Ce n’est pas d’incitation à creuser toujours plus profond qu’a besoin monsieur [Patronyme], mais d’aide.
Et à tous les rigolards qui, à grands coups de GIF popcorns, croient assister à « une passe d’armes » entre « Florence et Marcel », il ne peut y avoir de bataille sur des terrains que j’ai désertés pour avoir la paix. Il ne peut y avoir de « dispute » ou de conflit quand il s’agit d’agressions unilatérales.
Vous êtes les spectateurs et le carburant de la déliquescence d’un homme qui a jadis peut-être écrit quelques diatribes pertinentes. Mais qui depuis de nombreuses années maintenant, n’est plus aiguillonné que par un ressentiment personnel rance qu’il fait passer pour un combat pour sauver la démocratie.
On pourrait en rire, moi la première, mais la vérité c’est que je trouve ça terriblement triste. Pour lui, et pour ladite démocratie.
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COMMENTAIRES DE L’AUTEUR
L’essentiel des réponses à ce dernier droit de réponse se trouve dans mon article sur le pouvoir du victimisme épisode 3bis. Vous verrez que je ne « tente [pas] de vous faire croire que Myriam Leroy a créé un compte Twitter ‘parodique’ » à l’endroit de Florence Hainaut. C’est simplement la possibilité la plus crédible. Et le fait qu’elles ne parviennent pas à présenter des faits sérieux pour contredire le plus plausible et qu’au contraire, elles en sont réduites à fabriquer des prétendues preuves ou alibis qui ne tiennent pas une seconde à l’examen, ne fait que rendre ma version plus crédible.
• « Pascal Lebrun » a été lavé de tout soupçon dans cette affaire. Soit, l’auteur est Myriam Leroy ou quelqu’un qui a accès à son ordinateur, soit, c’est un hacker. Je note que le hacking n’a pas été démontré. Ce qui signifie que rien n’indique que ce soit lui. Ou plutôt : tout indique que ce n’est par lui.
• Florence Hainaut a en effet porté plainte contre X, mais a précisé que ses soupçons allaient à Pascal Lebrun. Elle a aussi déclaré à la police qu’elle et Myriam Leroy avaient « un harceleur en commun », soit Pascal Lebrun. Elle a également ajouté que « Pascal Lebrun » harcelait d’autres femmes ainsi que des journalistes hommes de la RTBF. À aucun moment, elle n’a émis de doute sur l’identité de son « harceleur ». Ce qui peut être résumé en une plainte contre Pascal Lebrun (au sens figuré, non juridique).
• Florence Hainaut affirme que les tweets étaient abusifs mais plutôt que de le prouver en produisant les deux ou trois « pires », elle a utilisé un tweet qui… me vise. Et qui, bien que sardonique, n’a rien d’abusif.
• Le tweet qu’elle produit est un indice de plus dans le sens de Pascal Lebrun : il n’a jamais rien twitté qui me concerne. En revanche, Myriam Leroy qui a, dès sa sortie, refusé de parler de Rosa, est bien l’une des quelques personnes qui auraient pu émettre un tweet de ce genre. Elle m’avait d’ailleurs déjà déjà tancé auparavant sur Twitter et Facebook.
•Je n’ai pas vu passer le compte « Floheynow », probablement parce qu’il a très peu twitté et/ou ne s’est pas adressé à moi.
• Le fait que je dispose de la date de création de ce compte ne prouve pas que j’aie eu accès au PV d’audition de Pascal Lebrun : j’ai trouvé la date de création dans la mémoire du net, où j’ai retrouvé des tweets de ce compte. Et dans tout tweet, il y a notamment la date de création du compte. Le pulitzer n’ira pas à Florence Hainaut non plus…
• Ma source qui me permet d’affirmer que Pascal Lebrun n’est pas informaticien, ni capable de « hacker », ce n’est évidemment pas le personnage lui-même, ce sont plusieurs témoins, dont trois de ses (anciens) collègues. La question est plutôt : quelles preuves Florence Hainaut et Myriam Leroy ont-elles pour affirmer qu’il est bien informaticien ? Réponse : aucune.
• Les faits délictueux ne sont pas reconnus tels « par la justice » que dans un tribunal. L’affaire n’ayant pas atteint ce stade, rien ne prouve qu’ils l’étaient.
• Enfin, il y a une belle envolée victimiste à laquelle je ne résiste pas à répondre : « Et pourtant il est partout, scrute, capture, me surveille, m’expose à sa poignée de fans. Il a toujours réagi à mon activité Twitter avec une telle vélocité que je ne peux qu’en déduire qu’il me surveillait de manière quotidienne. J’ai quitté Twitter, j’ai quitté Facebook. Il scrute mon compte Instagram, pourtant privé. Entre deux tweets harcelants où [Patronyme] affirme qu’il n’est pas harcelant, il fait aussi une demande d’abonnement au compte Instagram privé de Myriam Leroy, qui n’en croit pas ses yeux. »
Florence Hainaut s’accorde plus d’importance que je ne lui porte d’intérêt. Je ne surveille personne. Je reçois parfois des alertes, tout comme elle et Myriam Leroy, de leur propre aveu. Et question vélocité, je m’avoue humblement vaincu. Dans un droit de réponse précédent, Florence Hainaut publiait une copie d’écran d’un de mes tweets pris… 28 secondes après que je l’aie publié ! Faut-il me scruter, capturer, surveiller pour établir un tel record ! Et ensuite, m’accuser de faire… ce qu’elles font, en fait, au vu du nombre de captures d’écran de mes tweets… (alors qu’elles affirment ne plus être sur Twitter).
Quant à Instagram, je ne « scrute » rien du tout, je reçois parfois des copies de ses commentaires désobligeants à mon égard. Tout simplement.
Enfin, j’ignorais que faire une demande d’abonnement Instagram était un crime. À ce compte-là, on est en effet vite victime, de nos jours…
4 Comments
alain georges
décembre 18, 10:55marcel
décembre 18, 11:48Jamar Jean Marie
décembre 22, 22:27Acquitté. Un petit pas pour moi, un saut dans le vide pour la presse en ligne. | Un Blog de Sel
décembre 27, 16:53