Politiques, chroniqueurs, médias. Arrêtez ! merde ! on pète les plombs !
Arrêtez ! Merde ! Pitié ! Arrêtez !
La gueulante de Bouli Lanners contre un ministre qu’il reconnaît ne pas détester personnellement n’est qu’un sommet d’iceberg. Regardez autour de vous. Une masse de gens habituellement placides deviennent foldingues. Logique. Ils sont abreuvés d’informations contradictoires, plus anxiogènes les unes que les autres. Pas à en devenir girouettes, mais carrément hélicoptère. Le tout, sous une épée de Damoclès dont nous ne percevons même plus le danger réel !
Comme si ça ne suffisait pas, des politiques tirent à boulets incendiaires et constants sur l’équipe gouvernementale — au sens large — chargée de nous sortir de cette crise inédite.
Et par-dessus le marché, des médias continuent à rechercher le scoop ou la polémique, à programmer des experts qui se contredisent gaillardement dans des combats épiques dignes de l’affaire Dreyfus, avec leurs partisans qui s’entredéchirent ensuite sur les réseaux. Et à l’arrivée, des gens qui, hier, n’avaient pas la moindre idée de ce qu’était un virus, débattent de la fiabilité des essais in vitro !
Please, arrêtez !
Arrêtez, tous, de vous bombarder expert express, non pas pour tenter de comprendre (ce qui est légitime), mais pour avoir une position à défendre, l’altermondialisme, la mondialisation, l’antisocialisme, l’antinéolibéralisme, le véganisme, le libertarianisme, le communisme, l’écologisme ou encore l’acupuncture balinaise par aiguille à tricoter !
Ou pire, en diffusant de fausses informations parce qu’elles vous rassurent.
Politiques, chroniqueurs, journalistes, opinionistes, militants, bordel, arrêtez de faire ce que vous avez toujours fait comme si le business as usual avait encore un sens ! Vous abusez de nos angoisses, voilà tout !
Au lieu de continuer à tirer à vue sur l’opposant ou à chercher le scoop, à donner des pourcentages de mortalité dont vous n’avez aucune idée du dénominateur, rappelez-nous plutôt systématiquement pourquoi nous nous confinons. Rappelez que ce n’est pas parce que, sinon, nous allons tous mourir — c’est pourtant l’impression qu’on retire de nos lectures, des harangues des uns sur Youtube et des luttes à mort des autres dans les cénacles !
Médias, revenez au contexte. Rappelez-nous que nous ne nous protégeons pas tant nous-mêmes. Que si notre système hospitalier tient le coup, et si nous sommes relativement jeunes, nous avons plus de chances de mourir de tas d’autres choses, dans très longtemps. Et insistez sur la raison principale de notre action commune : si notre système de santé devait être saturé — et il le sera si nous laissons l’épidémie se propager — d’autres malades, ou des blessés, non soignés ou mal soignés, succomberaient par manque de soins, de lits, d’accès aux hôpitaux. Dans des conditions dantesques. Et par dizaines de milliers. Et nous, peut-être, avec.
Rappelez-nous que, collectivement, nous faisons un geste simple : nous mettons notre ceinture de sécurité hospitalière. Rappelez que chacun d’entre nous est un maillon de cette chaîne. Rappelez que son efficacité dépendra du respect des consignes par chacun.
Dites-le-nous comme ça. Parce que nous ne paniquons pas quand nous mettons notre ceinture de sécurité. Au contraire, elle nous rassure ! Médias, aidez-nous à comprendre notre geste sociétal !
Rappelez au passage que c’est le plus grand défi auquel nous faisons face depuis la Seconde Guerre mondiale, et pour l’immense majorité d’entre nous, auquel nous ferons jamais fait face, tout court. Tout manque de discipline constituera un risque supplémentaire. Toute rencontre entre potes retardera la sortie de crise. Tout égoïsme sera payé par l’ensemble de la société. Et c’est pourquoi nous ne pouvons pas continuer à fonctionner comme avant.
Au passage, dites-nous que c’est aussi une grande aventure humaine. Que cette histoire est truffée de courageux et de courageuses qui, parfois, se révèlent pour la première fois de leur vie.
Médias, politiques, chroniqueurs, faites de nous des soldats ! Pacifiques, humains, mais efficaces ! Donnez-nous les objectifs. Et rappelez-les-nous jusqu’à être à bout de souffle. Ils sont simples : préserver nos proches, surtout nos aînés, et sauvegarder la santé publique.
Et arrêtez, politiques et commentateurs, de profiter de notre confinement physique, moral et psychologique pour brandir vos pseudo-solutions personnelles, tellement meilleures que celles de nos gouvernants ! Ah, si vous étiez au pouvoir, tout irait tellement mieux ! Surtout votre indécence.
Je parle par exemple des socialistes, qui auraient fait autrement, bien sûr ; des néolibérauxchépaquoi (de droite surtout), qui hurlent que le confinement tuera bien plus de monde à cause de la faillite économique, jusqu’au jour où ils se retrouvent eux-mêmes aux soins intensifs (prompt rétablissement néanmoins, Mister Johnson) ; des anticapitalistes, qui glapissent en rond que tout ça, c’est la faute au néolibéralisme et qu’il faut renverser le pouvoir. Sans compter les écologistes qui préparent déjà leur après électoral, étouffant de plaisir à l’idée qu’après ça, la mondialisation sera mal vue. Ou les collapsologues qui caressent frénétiquement leur panique fétiche et leur obsession de la fin du monde.
Pendant ce temps, et avec votre complicité active à tous — et peut-être la mienne —, le peuple se met à voir rouge ou jaune, selon le gilet. À se diviser. À perdre de vue la seule chose qui compte : sauver.
Alors, arrêtez ! Bon sang, arrêtez !
Arrêter de continuer. Arrêter de faire comme si rien n’avait changé. Arrêter vos habitudes malsaines. Arrêtez vos batailles et vos guégerres politiques, médiatiques, expertistiques : nous sommes en guerre. Une guerre bizarre, certes. Mais qui requiert toutes nos forces vives. Notre intelligence. Notre créativité. Notre solidarité.
Alors, enterrez comme une hache vos arguments pour ceci ou contre ça, ils ne nous servent à rien. Arrêtez de chercher votre petit intérêt de parti, d’idéologue, d’intello brillant-e, d’expert-e plus expert-e que tou-te-s les autres expert-e-s ! C’est devenu des activités criminelles !
Nos gouvernant-e-s sont nul-le-s ? On ne les aime pas ?
Eh bien, on s’en balance ! Ce n’est plus la question pour les mois qui viennent. Ils sont aux commandes, littéralement. Et vous, oh ! vous ! quand ils virent 10° à gauche, vous envahissez telle une meute hurlante les pages et les écrans en gueulant que c’est à droite qu’il fallait virer, et de 8°, pas 10, parce que, oh ! brillants et formidables, vous savez.
Pathétique !
Oui, ils commettent des erreurs, et en commettront encore, immanquablement. Mais qu’on les apprécie ou pas, aujourd’hui, pour la première fois depuis 1945, nous devons leur faire confiance, aveuglément. Quoi ? Vous pensiez que tous les Français aimaient ou même écoutaient de Gaulle en 1940 ? Vous croyiez que Churchill était souhaité ? Quand on l’a bombardé Premier ministre, on espérait qu’il s’écrase dans la semaine. Pour les mêmes raisons stupides que celles qui prévalent aux trois quarts des commentaires en réseau social aujourd’hui : on espérait qu’il aurait tort, pour mieux avoir raison soi-même ! Ou pour se donner l’illusion qu’on n’était pas vraiment en guerre. Que les actions incontournables, les bilans affreux, étaient évitables !
Alors, arrêtez ! On vous a vus. On vous a compris ! Vous ne servez à rien.
Quant aux pages web des médias, franchement, regardez-vous ! Lisez-vous ! Est-il utile de publier chaque étude révolutionnaire qui conclut à l’inverse de toutes les autres, avant même qu’elles aient été revues par les pairs ? Est-il intéressant de savoir qu’un antipoux pourrait faire mieux qu’un antimalaria, avant qu’on ait la moindre idée de l’efficacité de l’un comme de l’autre, par manque de test sérieux ? Est-il raisonnable de donner la parole, chaque jour, à quelqu’un qui affirme le contraire de ce que le gouvernement préconise ? Est-il encore légitime d’aller chercher le scoop dans les erreurs passées, les calculs d’apothicaires tendant à prouver qu’on aurait négligé la Santé, les petites erreurs de com, ou la phrase qui choque les mamie Nova de la chronique politique, dans le fin fond d’un discours ?
À l’arrivée, un quotidien demande carrément à ses lecteurs s’ils pensent que tel médicament est le bon ! Vous vous rendez compte ? À cette population qui, parfois, ne sait même pas qu’un antibiotique ne tue pas les virus (et ce n’est pas un reproche, chacun son métier) !
Oui, à l’arrivée, on amène la population à se croire experte en tout, et à réfuter chaque déclaration gouvernementale, à douter de, et à contester chaque mesure pourtant soigneusement pesée par des professionnels de la gouvernance, avec des experts, des mesures confrontées au budget disponible, déjà explosé d’avance, des mesures confrontées aux réalités, aux pénuries, aux appels au secours de milliers de professionnels quand on a de quoi en satisfaire cinquante !
Apprenez l’humilité. Apprenez à reconnaître qu’à leur place, vous n’en mèneriez pas large. Apprenez à respecter ceux qui ont été élus ou désignés pour nous sortir de là, parfois par ceux-là mêmes qui, dans la seconde qui suit, les mitraillent au bazooka !
Et vous, les médias ! Apprenez à résister à l’idée de brandir le scoop du jour avec un titre bien sanglant qui crée la polémique. Youpi ! 100.000 clics ! Magique !
Sauf qu’à l’arrivée, on inonde d’insultes un-e ministre qui a simplement répété ce que son équipe d’experts prudents a conclu (oui, prudents, parce que chaque décision a un coût humain bien supérieur aux cancanages des opposants qui hurlent qu’eux, au pouvoir, feraient tellement mieux).
Reposez-vous prioritairement sur eux, pour une fois, pour ces quelques mois, plutôt que sur ces millions d’experts immédiats, qui se sont fait une opinion si professionnelle d’un édito à un article, avec pour seul véritable objectif — humain et compréhensible — de terrasser leur propre angoisse !
Apprenez temporairement à admettre l’imperfection, l’hésitation, apprenez à ne pas en profiter pour signer l’édito qui affole, qui afoule, qui défoule. En guerre, tout le monde commet des erreurs. Mais c’est aussi le moment où nous avons besoin d’une direction, une seule. Où nous devons confier le volant à une équipe, une seule. Fermer les yeux. Oublier l’idée que vous pourriez mieux faire. Bref, arrêtez de les viser toutes les trois minutes avec des scoops, des insultes, des soupçons, des reproches, des commentaires définitifs. Parce que ça les atteint. Ça les perturbe. Et nous ne pouvons pas nous permettre ce luxe. Nous avons besoin, eh oui, pour réussir, de respecter ceux qui sont à la manœuvre.
Soyez de gauche en Espagne, de droite en Belgique, du centre en France. Et arrêtez, tous, de tirer sur les pompiers !
Arrêtez, parce qu’il est urgent d’être productifs. La résistance s’organisera ensemble, ou pas du tout. Nous avons besoin d’idées pour préparer la sortie de crise. Pas d’idéologies. Nous avons besoin d’échanges. Pas de querelles.
J’en entends déjà dire « Nananère, Sel, avec les potes, on a refait le monde et on a conclu : “ceci n’est pas une guerre”. D’ailleurs Macron nananère. D’ailleurs Wilmès Gnagnagna. »
Mais de ça aussi, on s’en fout. On n’en est plus au choix des termes. Guerre ? Pas guerre ? Grippe ? Pas grippe ? Appelez ça comme vous le voulez ! Situation exceptionnelle. Combat. Lutte. Ou même dépandémisation, si vous préférez de l’original médicalisé.
Quelle importance que celui d’un mot, quand des dizaines de milliers de personnes vont perdre la vie, parfois à 30 ou 40 ans, parfois en parfaite santé ? Quand des centaines de milliers, ou des millions, vont se retrouver en soins intensifs, parfois à 20 ans ? Quand chacun d’entre nous, aujourd’hui ou demain, aura perdu quelqu’un ou connaîtra quelqu’un qui aura perdu quelqu’un ?
Quand le personnel soignant va au turbin la peur aux tripes de perdre un patient, dans des hostos où le matériel de protection manque parfois. Ou souvent. Quand des dizaines de milliers de travailleurs, éboueurs, policiers, employés de supermarchés, fonctionnaires, et j’en passe, craignent que ce travail devenu routine ne les confine, un jour, en réa ?
Oui, de tout ça, prenez acte. Rendez compte. Mais arrêtez de chercher des boucs-émissaires ! C’est ahurissant ! C’est chacun le sien ! Et ça ne sert à rien.
Quelle importance, aujourd’hui, que le capitalisme soit coupable, ou la mondialisation, ou la consommation d’animaux bizarres, ou les mensonges d’un État communiste dopé à l’économie de marché, ou l’agriculture de masse ?
Quelle importance, aujourd’hui, aussi, qu’on ait détruit un stock de masques périmés il y a 2, 3, 5, 10 ans ? Ils ne sont plus là. Point.
Et à propos de ces masques qui affolent, obsèdent et déboussolent, j’ai un scoop pour vous, qui nous fait un bon exemple : un peu partout dans le monde, on a transféré la responsabilité des stocks « stratégiques » aux pouvoirs locaux, privés et/ou hospitaliers. Et absolument partout dans le monde, on a fait confiance aux flux tendus. La raison est simple : ça libérait de l’argent pour d’autres priorités de santé. Nulle part dans le monde, on n’a prévu la pénurie. Et si vous aviez été au pouvoir, politiciens, journalistes, opinionistes, il y a 99 % de chances que vous auriez fait exactement pareil !
En Allemagne, ce « si bon exemple », les masques manquent aussi. Aux USA, des médecins travaillent en sac-poubelle. On manque de masques absolument partout. Quel que soit le régime, quel que soit le parti au pouvoir, et même en Asie. Au Japon, ce pays si efficace aux yeux de certains, le Premier ministre Shinzo Abe s’est fait ridiculiser pour avoir décidé de donner deux masques en tissu à chaque Japonais ! Quant à la Corée du Sud, ce modèle absolu à en lire certains, elle a elle-même lutté des semaines durant pour pouvoir masquer sa population… alors qu’elle est elle-même un gros producteur de masques !
Alors arrêtez !
Arrêtez le concours morbide entre pays, et méprisable entre partis. Non, ce n’est pas à l’État qui fera mieux ceci, ou moins bien cela. Non, aucun État, ni gouvernement, ni parti, ni individu n’a le monopole des bonnes mesures et de la bonne gestion.
Et arrêtez, bande d’experts, de vous contredire du matin au soir pour justifier votre passage télé. Vous aussi, vous jouez avec nos angoisses ! L’un assure que les masques sont indispensables, vitaux, que le virus se promène dans l’air, telle Marine Le Pen lors d’un débat présidentiel. Et ça fait bien peur, ça : un virus invisible qui flotte tout autour de nous ! J’en connais — authentique — qui n’osent plus sortir dans leur jardin ou à leur balcon parce qu’on leur a dit que le virus survivait dans l’air ! Et je ne vous parle pas d’imbéciles. Je vous parle de gens sensés, mais déboussolés. La faute à qui ?
Évidemment, l’autre expert dira précisément le contraire : pas besoin de masques ! Ou même : « c’est contre-productif ». Ou plus nuancé : « c’est peu efficace au regard d’autres mesures. »
Et là, le peuple que vous prenez à témoin, il pète les plombs ! Qui résisterait ? « Quelle horreur ! Le premier monsieur a dit que les masques nous protégeaient, et celui du gouvernement dit qu’on n’en a pas besoin ! Quel horrible menteur ! Il veut notre mort ! Au secouuuuuuuurs ! »
Et le pire, vous savez ce que c’est ? C’est que les uns et les autres ont raison, selon le point de vue qu’on adopte. Oui, les masques sont indispensables dans les services COVID19 des hôpitaux, parce que les soignants manipulent les malades, les intubent, sont exposés directement à la dispersion du virus, en toute proximité. Oui, il en faut dans toutes les maisons de repos, parce que les locataires sont fragiles. Oui, ce serait mieux si tout le monde en portait à l’extérieur. Un tout petit mieux, toutefois. Mais non, ces masques ne vont pas réduire de beaucoup les risques d’infection. La distance, l’hygiène des mains, le confinement sont nettement plus efficaces. Très, très nettement. Et oui, c’est mieux de faire encore mieux. Mais il faut en avoir les moyens.
Or, le fait est là. Il y a pénurie, et la seule chose à faire aujourd’hui, est de tenter de la gérer au mieux. Pas de mener le procès fulgurant et continu de ceux qui travaillent comme des dingues pour nous sortir de là. Et ce mieux est impossible. Alors, il est si facile de cogner, d’accuser, d’inciter à la détestation. Si facile. Et désormais, si indécent.
L’avez-vous compris ? L’obsession pour le masque ne tient pas à son efficacité, mais bien au fait que, contre un ennemi invisible, nous préférons une barrière physique, visible, nous nous y accrochons même désespérément, instinctivement. Et si on en parle autant, ce n’est pas parce que nos gouvernements ont tant failli, mais parce que nous attribuons au masque une vertu de bouclier qu’il n’a pas forcément. Et que ça permet aux opposants de capturer notre attention à leur service.
Si vraiment, vous en avez besoin, d’un masque, arrêtez d’écouter, arrêtez d’en parler. Et fabriquez-le. Il y a plein de tutos approuvés par des services médicaux.
Et ensuite, prenez le temps d’apprendre à le porter. Parce que ce n’est pas si simple. Et parce que les uns ont raison : un masque mal porté est une illusion de protection. Il peut même vous contaminer ! Et les autres ont raison aussi : un masque bien porté ralentit la contagion.
Mais quand il n’y a pas assez de masques pour tout le monde, au lieu de chercher les coupables, prenons simplement acte que les autres mesures (confinement, lavage de mains, distance d’1 min 50 s ou plus — je pratique les 2 m, etc.) restent bien plus efficaces. La baisse des hospitalisations dans les pays qui ne l’ont pas généralisé le démontre aisément.
Alors, commençons ! Enfin ! Commençons !
Commençons à admettre que nous n’avons besoin que de très peu de choses aujourd’hui pour affronter les mois de confinement et de mesures spéciales qui s’annoncent. Ça va être pénible. Et de plus en plus. Et donc, la dernière chose dont nous avons besoin, ce sont les psychodrames. Nous avons besoin de solidarité inconditionnelle, d’une bonne compréhension de la situation, d’idées positives, d’union, d’empathie, de soutien mutuel, d’informations claires et pertinentes, et de politiciens qui, pour une fois, pensent ensemble plutôt que séparés.
Parce que se tirer dans les pattes est, depuis toujours, la meilleure façon de perdre une guerre.
Et que ceci soit pour vous une guerre ou non, ceux que nous perdrons ne reviendront jamais.
Si cet article vous a intéressé, n’hésitez pas à contribuer à mon travail à raison de minimum 2 € (en-dessous, la perception PayPal est prohibitive).
(Note : je n’accepte pas plus de 50€ par trimestre des mandataires politiques, quel que soit leur bord.)
©Marcel Sel 2019. Distribution libre à la condition expresse de citer l’auteur (Marcel Sel) et d’établir un lien avec cette page.
42 Comments
chanteurdecharme
avril 07, 19:09marcel
avril 07, 20:13Franck Pastor
avril 07, 19:20Ludo
avril 07, 20:17marcel
avril 08, 20:05Edalas
avril 07, 21:07Olivier
avril 07, 21:45Guypimi
avril 07, 21:51P. Grégoire
avril 08, 03:30Didier Mercier
avril 08, 08:54Wallimero
avril 08, 11:30marcel
avril 08, 19:57Edalas
avril 08, 21:33wallimero
avril 18, 09:29Edalas
avril 08, 11:50Alexis EWBANK
avril 08, 11:52mich
avril 08, 19:31marcel
avril 08, 19:56mich
avril 08, 20:38marcel
avril 09, 16:53mich
avril 09, 18:14marcel
avril 09, 19:28mich
avril 12, 12:15marcel
avril 12, 18:21mich
avril 13, 10:35marcel
avril 26, 10:26Edalas
avril 08, 20:50Edalas
avril 09, 21:35Edalas
avril 10, 22:36Edalas
avril 11, 12:33Maurice EINHORN
avril 12, 08:50Edalas
avril 12, 17:18marcel
avril 12, 18:10Edalas
avril 12, 20:48Edalas
avril 13, 09:34mich
avril 25, 15:01marcel
avril 26, 10:07Edalas
avril 13, 18:42jean paul otjacques
juin 24, 11:17mich
juillet 05, 08:23marcel
juillet 05, 16:18mich
juillet 05, 19:16