
Zakia B, d’icône de la paix à génocidaire en 2 jours. Mais elle n’est pas le vrai sujet.
C’est l’histoire d’une icône express, instituée héroïne de la paix en quelques heures sur ces réseaux sociaux qui fabriquent des Mahatma Gandhi à bon marché. C’est aussi l’histoire d’une jeune fille qui a un jour envoyé un twit antisémite. Et sa déchéance fut aussi rapide que sa gloire. À l’arrivée, on imagine Zakia B soufflée. Le mot-clé associé à son nom est devenu une tendance sur les comptes Twitter d’extrême droite et chez certains défenseurs d’Israël. Est-ce juste ? Un seul twit peut-il
