
Panique à Hysteria Lane. Ou comment les humanistissimes font gagner Francken.
Et voilà. Après un nouveau psychodrame bimensuel à la chambre hier, la majorité a dit son fait et l’opposition s’en retourne dans ses pénates, gueulant qu’on est dans les années trente, criant au fascisme, ou à Michel qui mange dans la main de Francken. Et comme presque toutes les semaines désormais, les Desperate Gauchewives d’Hysteria Lane rentrent sans résultat et, pire, sans avoir proposé d’alternative. Du coup, elle lance de nouvelles imprécations, entraînant ses aficionados, déjà bien énervés, sur le