Gaffe en gros : Reynders booste la N-VA.
Dans De Standaard, Didier Reynders a fait un aveu qui emplit de plaisir les militants de la N-VA. Alors qu’on lui parlait des «pestbelastingen» (la taxe sur les voitures de société et sur les bonus de liquidation d’entreprises), il a répondu : « Le MR n’était pas favorable aux soi-disant « pestbelastingen » (que je traduirais par : « impôts conçus exprès pour embêter son monde ») mais on a pu les laisser passer. Pourquoi ? Parce qu’elles ont moins d’effets sensibles à Bruxelles
